Turin, épisode 1
Juillet 2007, dans l’euphorie du Challenge Roth, j’envisage un temps de faire à nouveau l’ironman d’Almere en fin d’été. Mon genou n’est pas d’accord et me le fait savoir. Qu’à cela ne tienne, je me rabats sur un autre projet : achever mon apprentissage de la Pose method of running et, si tout va bien, courir un marathon comme çà dès l’automne. Premières velléités pour m’élancer sur le marathon du Turin…
… et premier échec avec la première fracture de fatigue de ma vie (pied droit) en septembre. Début de longs mois de galère pédestre.
Turin, épisode 2
Printemps 2011, je recours et, fin mars sur le semi de Bratislava, j’entrevois la possibilité de repasser sous les 3h au marathon de Düsseldorf début mai. Je n’ai jamais été aussi en forme à pareille époque (fin d’hiver), je pète le feu… et mon mollet aussi. Claquage trois jours après la course en Slovaquie. Abattu mais motivé pour prendre ma revanche à l’automne sur le marathon de Turin…
… et deuxième échec avec la deuxième fracture de ma vie (pied droit) en septembre. Début de longs mois de galère pédestre.
Turin, épisode 3
Juillet 2013, dans l’euphorie du Challenge Roth, je n’envisage pas de faire un autre ironman en fin d’été (on ne me l’a fait pas, je suis malin maintenant !). Alors, je me remets à trotter petit à petit en aout en vue d’un alléchant menu automnal de courses pédestres, relevé par quelques weekends easyJet bien sympathiques. Certes, je suis un peu ennuyé par une petite aponévrose plantaire au pied droit mais, en supprimant quelques séances et en glaçant souvent mon pied, çà me paraît gérable. Du coup, c’est décidé : cette année, je vais enfin courir le marathon de Turin…
…
Devine la suite…